Sandra Dubreucq, à la tête de Mayoparasol, marque française qui fabrique et commercialise des vêtements et des accessoires de qualité pour protéger des UV toute la famille, a accepté de répondre aux questions de Bilbokid sur les principaux enjeux de la marque dans sa communication digitale.
Pouvez-vous nous présenter Mayoparasol en quelques mots et dates clés ?
Mayoparasol est né de l’idée d’une maman, Anne, qui a ramené en 2001 le concept de Singapour où elle a passé quelques années en tant qu’expatriée avec son mari et ses tout jeunes enfants.
En 2011, elle passe à la vitesse supérieure en obtenant la licence « Sophie la girafe » . Anne souhaitant voguer vers d’autres aventures, elle m’a confié son « bébé » en 2016, et je l’ai adopté avec amour !
Nos vêtements de baignade sont bien plus que des maillots de bain. Beaux et confortables, les enfants peuvent les porter toute la journée. Ils résistent au chlore, à l’eau de mer et sèchent vite. Nos tissus sont tous européens et certifiés UPF50 et Oekotex100. Nous les sélectionnons avec soin pour leur douceur et leurs couleurs et imprimés au top de la mode.
Nos vêtements anti UV stoppent plus de 98% des rayons UVA et UVB. Ils évitent aux parents de tartiner de crème solaire leurs enfants toutes les deux heures ; ils font ainsi en même temps un geste pour la préservation de l’environnement (quand on connait les dégâts causés par les crèmes solaires sur la faune et la flore maritime…).
Nous produisons en Tunisie dans une usine spécialiste du balnéaire. Nos vêtements présentent tous des finitions soignées : long zip au dos, boutons pressions, bande protège zip pour ne pas irriter la peau … autant de détails qui font la différence.
Comment la marque est-elle distribuée aujourd’hui ?
Nous distribuons via 2 canaux :
– En B to B avec un référencement auprès d’enseignes de la puériculture comme Aubert, Autour de bébé et bébé 9, ainsi qu’auprès de magasins de sport spécialisés, habillement enfant indépendant, magasin de plage et pharmacies.
– En B to C avec le site internet qui s’est développé depuis 2010 surtout.
La vente en direct fragilise-t-elle vos relations distributeurs ?
Les 2 canaux ne se font pas concurrence : en magasin, on découvre nos produits et on peut les voir et toucher, ce qui est un plus pour nous car nos vêtements sont (encore) mieux en vrai qu’en photo, -c’est ce qu’on nous dit généralement !- , ce qui permet ensuite aux gens d’aller voir l’ensemble de nos collections sur internet où le choix est plus grand.
Le magasin/distributeur s’y retrouve aussi : il bénéficie de notre notoriété d’expert en proposant nos vêtements.
Qui sont vos clients sur Internet ? Quel est le profil de vos audiences ?
Le profil est très varié : il y a ceux qui nous connaissent justement par les magasins, donc généralement plutôt de jeunes mamans; mais aussi ceux qui sont « tombés » sur nous en recherchant de l’anti UV sur internet : des grand mères qui vont accueillir leurs petits enfants pendant l’été, des adultes recherchant un vêtement protecteur parce qu’ils ont un problème de peau…bref toute la famille peut trouver ce qui lui convient sur notre site.
Quels sont les grands axes de votre stratégie digitale ? Quelles sont vos priorités sur 2017 ?
Aujourd’hui, la concurrence est de plus en plus forte sur internet et il faut être visible.
Nous couplons donc des actions à ROI direct comme Google Adwords , l’affiliation, les comparateurs, la présence sur les marketplaces, mais nous tablons aussi sur de la notoriété à plus long terme avec la création d’un blog , les relations avec les mamans/papa blogueurs et l’animation de nos réseaux sociaux.
La relation continue avec vos clients fait-elle partie de vos préoccupations ? Quels en sont les enjeux et les actions pour y répondre ?
Mayoparasol est une TPE et elle ne vit que grâce au bouche à oreille de ses clients satisfaits : le client est notre préoccupation quotidienne : nous recherchons sans cesse du feedback client via les relations avec les blogueurs/ses et l’animation de nos réseaux sociaux par exemple…
Mais la relation client, c’est aussi tout simplement avoir un service client compétent, qui connait le produit, peut conseiller sur un modèle ou une taille, répondre à une réclamation rapidement…bref ,le respect de ses clients, qui est aujourd’hui une valeur qui ne va plus de soi dans certaines entreprises, et qui est primordiale pour Mayoparasol.
Quel conseil auriez-vous à donner à un créateur de l’univers de la famille pour se développer ?
Comme dans beaucoup de secteurs, c’est un univers en mouvement et avide de nouveautés, mais les parents se préoccupent de plus en plus la provenance de ce qu’ils achètent, de sa qualité et de son impact écologique. Autant de points sur lesquels Mayoparasol sait leur répondre et les rassurer. Je pense qu’un jeune créateur doit miser là dessus.
Merci Sandra ! Rendez-vous sur Mayoparasol !
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